dimension document environ 17,5 x 23 cm
Etat : VOIR SCANS
Antoine Calbet, né le 16 août 1860 à Engayrac (Lot-et-Garonne) et mort le 21 août 1942 à Paris, est un peintre, aquarelliste, dessinateur, graveur et illustrateur français.
Antoine Calbet est le fils de Marie Singlande et de Jean-Baptiste Calbet, propriétaire terrien au lieu-dit de Gaubert. Formé à l'école des beaux-arts de Montpellier par Édouard-Antoine Marsal (1845-1929) où il apprend le dessin, ce dessinateur et illustrateur, peintre de nus et de scènes galantes est recherché de son vivant. Antoine Calbet est ensuite admis à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel (1823-1889). Il fut membre du jury d'admission des Beaux-Arts de 1913 à 1930. Il commence à exposer en 1880 et devient membre de la Société des artistes français. Il fut l'ami de son compatriote de Lot-et-Garonne, le président de la République Armand Fallières, pour lequel il dessinait les menus de ses repas, qui le firent connaître des salons parisiens. Il illustres des ouvrages de Jean Lorrain, Henri de Régnier, Pierre Louÿs3 et pour des périodiques comme L'Illustration. Il signe parfois Antonin Calbet.
/// L’ordre royal de l’Étoile polaire est un ordre suédois destiné aux ministres, aux ambassadeurs, aux magistrats, aux savants, aux littérateurs et aux artistes. Il n'est décerné qu'à des personnes n'ayant pas la nationalité suédoise. L'insigne est une croix d'or à huit pointes, émaillée de blanc, ayant au centre un médaillon d'azur qui porte une étoile polaire et la devise : Nescit occasum (ie qui ne décline jamais / qui ne se couche jamais - en parlant d'un astre). Cette croix est surmontée d'une couronne en or. L'ordre a été établi en 1748 par le roi Frédéric Ier de Suède.
L'ordre comporte cinq grades : chevalier ; chevalier première classe ; commandeur ; commandeur première classe ; commandeur grand-croix. Par ailleurs, les insignes (médaille, ruban, et éventuellement étoile selon le grade) sont prêtées aux récipiendaires (gratuitement, contrairement par exemple à la Légion d'honneur française dont la médaille doit être achetée à la Monnaie de Paris). Les héritiers sont censés rendre ces insignes au Royaume de Suède lors du décès du récipiendaire.
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