MANUFACTURES FAIENCERIE UTZCHNeIDER Sarreguemines / Digoin et / Vitry le François
VOIR HISTORIQUE
DESCRIPTION
ANNEE 1931
FORMAT HABITUEL
TRAIRE / MANDAT / LETTRE DE CHANGE
ENTETE
CACHTE FAYENCERIE / SUR TIMBRE FISCAL annulé
CACHETS BANQUE
DOCUMENT EN ETAT COURANT ET TRES FRAIS
VOIR SCANS
VOR HISTRIQUE
HISTORIQUE
SOURCES
https://blog.debutdeserie.com/la-faiencerie-digoin-et-sarreguemines/
EXTRAIT
La création de Digoin
Lors du Traité de Francfort de 1871, la Moselle est annexée par l’Allemagne et Alexandre de Geiger quitte Sarreguemines. Son fils Paul prend la direction de la manufacture et continue de la développer. Environ 3 000 ouvriers sont employés à Sarreguemines et deux nouvelles usines sont construites côté français à Digoin et à Vitry-le-François, notamment pour limiter les taxes douanières. Sarreguemines produit des carrelages décorés pour les nouveaux immeubles.
À la mort de Paul de Geiger en 1913, la faïencerie est scindée en deux sociétés : l’établissement de Sarreguemines et les usines françaises (Digoin et Vitry-le-François).
En 1919, après la Première Guerre Mondiale, l’unité se reconstitue sous le nom de Sarreguemines-Digoin-Vitry-le-François. Son dirigeant, Edouard Cazal doit composer avec l’augmentation de la concurrence, les revendications sociales, les tensions internationales, etc.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la faïencerie est mise sous séquestre et sa gestion confiée à Villeroy & Boch. Une partie de la production est alors commercialisée au profit de la firme allemande. Mais les bombardements successifs détruisent une partie des locaux de production : seule l’usine n°4 reprend son activité après la guerre.
En 1978, le groupe Lunéville-Badonviller-St Clément prend le contrôle de l’usine de Sarreguemines et de ses filiales. Ainsi la famille Fénal se trouve à la tête d’un des plus grands groupes de céramique d’Europe avec près de 3 000 salariés.
Fin de la faïencerie Digoin Sarreguemines
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